Défilé des troupes motorisées et montées

Motocyclistes de la Police nationale, régiment de cavalerie de la Garde républicaine, véhicules blindés du 1er régiment de hussards parachutistes, ce sont au total 157 véhicules et 200 chevaux qui accompagneront les troupes à pied sur les Champs-Élysées.  

Défilé des troupes motorisées et montées. © Miniqtère de la Défense

Centre national de formation à la sécurité routière

Centre national de formation à la sécurité routière © Ministère de la Défense

Missions

Le centre national de formation à la sécurité routière (CNFSR) est en charge de sélectionner, former et perfectionner tous les motocyclistes de la Gendarmerie nationale, qu’ils soient sous-officiers ou officiers. Les formations dispensées s’étendent sur plusieurs semaines, avec des durées variables selon l’emploi et la qualification attendus. La formation la plus longue est la formation initiale motocycliste qui dure 12 semaines. À l’issue de celle-ci, les motocyclistes brevetés sont employés sur l’ensemble des missions confiées aux unités de sécurité routière.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Fontainebleau (Seine-et-Marne)
Date de création de l’unité : 1963

Composition

Effectif défilant : 31 motocyclistes.
Articulation : instructeurs et stagiaires du CNFSR.
Autorité défilant en tête : le lieutenant-colonel Cyrille Cousi, commandant en second du CNFSR.

Détachement motocycliste de la Police nationale

Détachement motocycliste de la Police nationale © Ministère de la Défense

Missions

Le détachement motocycliste de la Police nationale participe aux missions d’éducation et de formations routières. Ils veillent au respect des réglementations propres aux transports et plus particulièrement à ceux des matières dangereuses.
Ils participent à la défense des professionnels en luttant contre les transports clandestins. Ils assurent la sécurité des passagers des transports routiers collectifs. Formés à rouler en toutes circonstances, ils constituent une force de projection rapide partout où les besoins de secours et de sécurité se font sentir. Ils sont le gage infaillible d’arrivée à destination des greffons et des SAMU grâce à leurs compétences enviées et reconnues en matière d’escorte.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : métropole et territoires ultra-marins
Date de création de l’unité : 1920
Devise : « Pro patria vigilant »

Composition

Effectif défilant : 31 motocyclistes.
Articulation : trois officiers, 12 de la sécurité publique, sept CRS, sept de la préfecture de police de Paris et deux de la direction centrale du recrutement et de la formation de la Police nationale.
Autorité défilant en tête : le capitaine de police Benoit Gallais.

État-major de la 3e division

État-major de la 3e division © Ministère de la Défense

Missions

La 3e division commande trois brigades : la 2e brigade blindée, la 6e brigade légère blindée et la 11e brigade parachutiste. Elle a également sous ses ordres trois régiments spécialisés : le 2e régiment de dragons, le 31e régiment du génie et le 54e régiment d’artillerie. L’état-major de la 3e division est un poste de commandement qui entraîne les unités de la division en métropole et les commande en opérations. Il forme une année sur deux l’ensemble des forces terrestres engagées en opérations extérieures et sur le territoire national. Selon le scénario d’engagement retenu, l’état-major arme les postes de commandement (PC) capables de commander une force de 5 000 à 20 000 hommes.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Marseille (Bouches-du-Rhône)
Date de création de l’unité : 1er juillet 2016
Devise de la formation : « Un seul but, la victoire ! »

Composition

Effectif défilant : 12 véhicules.
Articulation : six VBLL, deux PVP et quatre VAB.
Autorité défilant en tête : le colonel Pierre-Olivier Marchand, chef d’état-major de la 3e division.

État-major de la 11e brigade parachutiste

État-major de la 11e brigade parachutiste © Ministère de la Défense

Missions

Grande unité en permanence sur le pied de guerre, la 11e Brigade parachutiste (BP) est un outil de combat unique en Europe, prêt au combat dans l’urgence et apte au combat de haute intensité. Elle se distingue par sa capacité de projection et de re-projection de force. Elle est l’outil de combat par excellence de la saisie ou de la reprise de l’initiative dans l’ensemble du spectre de la conflictualité moderne en phase de compétition, en phase de contestation ou dans le cadre d’affrontements plus conséquents, elle peut et contribuer au succès de la manoeuvre aéroterrestre, en agissant dans la profondeur du champ de bataille avec la capacité de frapper ses éléments vitaux et prendre part au combat comme brigade légère à bord de ses véhicules blindés multirôles légers SERVAL.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : quartier Balma Ballon (Haute Garonne)
Date de création de l’unité : 1999

Composititon

Effectif défilant : cinq véhicules.
Articulation : deux véhicules de type A3F Overland, et trois Fardier.
Autorité défilant en tête : le colonel Eric Durieux, colonel adjoint de la 11e brigade parachutiste.

1er régiment de hussards parachutistes

1er régiment de hussards parachutistes © Ministère de la Défense

Missions

Héritier des plus belles traditions de la cavalerie légère et des troupes aéroportées, le 1er Régiment de hussards parachutistes (1er RHP) est la seule force polyvalente et modulaire apte à fournir, par les airs, le module blindé de la 11e Brigade parachutiste (11e BP). Régiment de mêlée, sa vocation est le combat à l’avant-garde et l’action décisive au profit des régiments d’infanterie de la 11e BP. En plus d’être apte à la mise en place par air (aérolargage et aéroportage), le régiment remplit toutes les missions de la cavalerie légère. Cette double spécialisation, cavalière et parachutiste, renforce une polyvalence et une réactivité utile sur les théâtres d’opérations.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : quartier Larrey, Tarbes (Hautes-Pyrénées)
Date de création de l’unité : 1720
Devise : « Omnia si perdas famamservare memento », « Si tu as tout perdu, souviens-toi qu’il te reste l’honneur »

Composition

Effectif défilant : 11 véhicules.
Articulation : Véhicule blindé léger long (VBLL) du chef de corps, un VBL étendard, trois VBLL, trois Grizzly et trois AMX 10RC.
Autorité défilant en tête : le colonel Christophe de Ligniville, chef de corps du 1er RHP.

 

3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine

3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine © Ministère de la Défense

Outre les missions traditionnelles dévolues aux unités d’infanterie légère, le 3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine est entraîné pour être posé à terre par la troisième dimension (parachutage, aérotransport, posé d’assaut ou héliportage) en vue de saisir un point clé ou une tête de pont dans la profondeur. Le 3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine a donc pour vocation d’intervenir partout dans le monde en moins de 12h si le régiment est d’alerte. Il prend pleinement part à la modernisation de l’armée de Terre en étant le premier régiment à percevoir le véhicule blindé multirôles léger Serval en 2023 renforçant ainsi sa capacité à manoeuvrer sous blindage au plus près de la ligne des contacts.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : quartier Laperrine, Carcassonne (Aude)
Date de création de l’unité : 1948
Devise : « Être et durer »

Composition

Effectif défilant : 11 véhicules.
Articulation : 11 Serval.
Autorité défilant en tête : le colonel Benoît Cussac, chef de corps du 3e RPIMa.

État-major de le 6e brigade légère blindée

État-major de le 6e brigade légère blindée © Ministère de la Défense

Missions

Ses caractéristiques interarmes, blindées, légères, amphibies et numérisées, comme son expérience opérationnelle, en font une brigade prompte à l’engagement en opérations extérieures, et notamment en ouverture de théâtre (Sahel en 2013), mais aussi sur le territoire national (opération SENTINELLE, sommet du G7) ou lors de missions au profit de populations frappées par des catastrophes naturelles (inondations du Gard et du Var). L’état-major de l' état-major de le 6e brigade légère blindée est en mesure de se recentrer sur ses fonctions opérationnelles en basculant rapidement de son fonctionnement organique en format Poste de commandement (PC), afin de commander ses régiments sur le terrain au plus proche des combats.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Nîmes (Gard)
Date de création de l’unité : 1999
Devise : « Vite, Fort et Loin »

Composition

Effectif défilant : cinq véhicules.
Articulation : deux Véhicules blindés légers longs (VBLL) et trois Véhicules blindés légers (VBL).
Autorité défilant en tête : le général de brigade de Valentin Seiler, commandant la 6e BLB.

1er régiment étranger de cavalerie

1er régiment étranger de cavalerie © Ministère de la Défense

Missions

La finalité du 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC) est l’engagement opérationnel sur les théâtres d’opérations extérieures dans ses spécialités blindée et reconnaissance-intervention. Le 1er REC effectue des missions de reconnaissance en menant des actions de renseignement et de combat. Il intervient aussi sur le territoire national dans des missions de protection de la population. Ses engagements les plus récents sont l’opération DAMAN au Liban en 2022 avec la projection de son état-major et d’un escadron de reconnaissance et d’intervention, et l’opération BARKHANE en 2020. Le régiment est également régulièrement déployé sur le territoire national dans le cadre de l’opération SENTINELLE.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : camp de Carpiagne, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Date de création de l’unité : 1921
Devise : « Nec Pluribus Impar »

Composition

Effectif défilant : 11 véhicules.
Articulation : 11 Jaguar.
Autorité défilant en tête : le colonel Bertrand Dias, chef de corps du 1er REC.

21e régiment d’infanterie de marine

21e régiment d’infanterie de marine © Ministère de la Défense

Missions

Les missions du 21e régiment d’infanterie de marine sont multiples et variées. Son accès privilégié à la mer Méditerranée lui permet de perfectionner toujours davantage sa spécialité amphibie, notamment avec son centre d’instruction et d’entraînement au combat amphibie (CIECA). Il est en mesure de conduire des opérations de combat de la mer vers la terre dans le cadre notamment d’une entrée en premier sur un théâtre d’opération. Il peut être immédiatement déployé en France ou à l’étranger pour des missions de combat, de contrôle du milieu et d’appui aux partenaires et alliés. Appartenant à la 6e brigade légère blindée, il a l’habitude des engagements dans des zones hostiles. Il a notamment la culture des entrées en premier comme ce fut le cas au Kosovo en 1999, en Afghanistan en 2002 et au Mali en 2011.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Fréjus (Var)
Date de création de l’unité : 17 janvier 1901
Devise : « Croche et Tient »

Composition

Effectif défilant : 11 véhicules.
Articulation : 11 Griffon.
Autorité défilant en tête : le colonel Aurélien Moy, chef de corps du 21e RIMa.

État-major de la 2e brigade blindée

État-major de la 2e brigade blindée © Minidtère de la Défense

Missions

La 2e brigade blindée (2e BB) est l’héritière de la 2e DB du général Leclerc, qui a libéré Paris et Strasbourg en 1944. Depuis l’été 2016, elle compte sept régiments, près de 10 000 militaires et est subordonnée à la 3e division. Cette brigade est capable d’intervenir sur tout le spectre des missions, sur le territoire national comme en opération extérieure. Elle peut s’engager dans un conflit majeur dans un cadre interarmes, interarmées et interalliés (ONU, OTAN). Brigade numérisée, dotée d’une grande puissance de feu, elle est en pointe des enjeux liés aux combats de haute intensité.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Strasbourg (Bas-Rhin)
Date de création de l’unité : 1943
Devise : « Pour le service de la France, ne me dites pas que c’est impossible ! »

Composition

Effectif défilant : cinq véhicules.
Articulation : deux Véhicules blindés légers longs (VBLL) et trois Véhicules poste de commandement (VPC).
Autorité défilant en tête : le général de brigade Ludovic Pinon, commandant la 2e BB, et gouverneur militaire de Strasbourg.

16e bataillon de chasseurs à pied

16e bataillon de chasseurs à pied © Ministère de la Défense

Missions

Au cours des 10 dernières années, le bataillon a été engagé sur de nombreux théâtres d’opérations extérieures (Liban, Afghanistan, Centrafrique, Mali, Niger, Tchad, République de Côte d’Ivoire, etc.). En avril, il a participé à l’exercice ORION 4 et prépare son engagement pour 2024 en Roumanie. Tout au long de l’année, il forme de nouvelles recrues, tout en continuant ses nombreuses préparations opérationnelles à la fois dans le cadre de l’opération SENTINELLE mais aussi de ses projections à l’étranger.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Bitche (Moselle)
Date de création de l’unité : 1854
Devise : « Et le 16 est toujours... d’Acier ! »

Composition

Effectif défilant : 11 véhicules.
Articulation : neuf Véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) et deux Véhicules poste de commandement (VPC).
Autorité défilant en tête : le colonel Benoît Chrissement, chef de corps du bataillon d’acier.

501e régiment de chars de combat

501e régiment de chars de combat © Ministère de la Défense

Missions

Le 501e régiment de chars de combat est l’un des quatre régiments de chars de bataille en France métropolitaine. Il est spécialisé dans le combat des blindés, antichar, et la reconnaissance embarquée. Menant des missions très mobiles et dynamiques, il est engagé sur toutes les missions de l’armée de Terre à la fois dans le cadre des opérations extérieures et des opérations intérieures. Fer de lance de la 2e brigade blindée, le régiment est composé de trois escadrons de chars, un escadron de reconnaissance et d’intervention, un escadron de commandement et de logistique, et un escadron de réserve.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Mourmelon-le-Grand (Marne)
Date de création de l’unité : 1918
Devise : « En tuer ! »

Composition

Effectif défilant : huit véhicules.
Articulation : deux Véhicules poste commandant (VPC), six chars Leclerc.
Autorité défilant en tête : le colonel Matthieu Leroy, chef de corps du 501e RCC.

40e régiment d’artillerie

40e régiment d’artillerie © Ministère de la Défense

Missions

Le 40e Régiment d’artillerie (40e RA) assure l’appui feu sol-sol et sol-air de la 2e brigade blindée. Composé de sept batteries dont trois batteries de tir canon, une batterie sol-air, une batterie d’acquisition et de surveillance, une de réserve et une de soutien, il est le seul régiment d’artillerie à disposer d’une composante blindée avec le canon de 155 mm Automoteur modèle F1 (AUF1). Avec ses missiles anti-aériens Mistral, le radar Murin et le Système de mini-drones de reconnaissance (SMDR), ses observateurs et ses Joint terminal attack controller (JTAC), le régiment dispose de tout le panel des capacités artillerie et renseignement nécessaire à la brigade pour garantir la supériorité de ses feux.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Suippes (Marne)
Date de création de l’unité : 1894
Devise : « Sursum corda », « Haut les coeurs »

Composition

Effectif défilant : 10 véhicules.
Articulation : Un Petit véhicule protégé (PVP) du chef de corps défilant en tête, un PVP avec l’étendard du 40e RA, deux canons Caesar, trois Véhicules de l’avant blindé (VAB) mortiers de 120mm avec leurs équipes de pièces et trois PVP dont deux tractant des Systèmes de mini drones de reconnaissance (SMDR) et celui du commandant d’unité.
Autorité défilant en tête : le colonel Charles-Louis Tardy-Joubert, chef de corps du 40e RA.

13e régiment du génie

13e régiment du génie © Ministère de la Défense

Missions

Le 13e régiment du génie a pour mission de faciliter l’engagement des unités blindées de la 2e Brigade blindée (2e BB) au contact de l’ennemi. Toujours à l’avant, il apporte son expertise génie combat et réalise des missions d’appui à la mobilité ou à la contre-mobilité et d’appui au déploiement. L’action du génie consiste à modeler le terrain, de toutes les manières possibles, au profit de la manoeuvre amie. Le 13e RG détient également des capacités uniques dans les domaines du franchissement d’assaut et de l’ouverture d’itinéraire piégé. Ses matériels blindés, mobiles et rapides, lui permettent de s’intégrer dans tout type d’opération au profit des unités de la 2e BB.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Valdahon (Doubs)
Date de création de l’unité : 1er octobre 1943
Devise : « À me suivre, tu passes ! »

Composition

Effectif défilant : six véhicules.
Articulation : deux Petits véhicules protégés (PVP), deux Véhicule de l’avant blindé (VAB) et deux Systèmes de déminage pyrotechnique pour mines antichar (SDPMAC).
Autorité défilant en tête : le colonel Jérémie Gavalda, chef de corps du 13e RG.

516e régiment du train

516e régiment du train © Ministère de la Défense

Régiment multimodal depuis 2010, le 516e régiment du train (516e RT) garde cependant une forte empreinte de l’appui à la mobilité des blindés, notamment dans le cadre de la formation des pilotes au Centre de formation délégué (CFD). Il est en mesure de déplacer en 24 heures 32 chars Leclerc et 40 blindés sur une distance de 500 km.
Transport, ravitaillement, appui aux mouvements et à la mobilité des unités interarmes, le 516e RT offre une réelle liberté d’action et un soutien aux ravitaillements par voie terrestre adaptés à la manoeuvre.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : quartier Fabvier, Écrouves (Meurthe-et-Moselle)
Date de création de l’unité : 1944 à Rivoli (Algérie)
Devise : « Servir ! »

Composition

Effectif défilant : 14 véhicules.
Articulation : deux Véhicules de l’avant blindé (VAB), trois Petits Véhicules Protégés (PVP), neuf Porte-engins blindés (PEB) transportant Jaguar, Griffon et Serval de la gamme Scorpion, mais aussi AMX 10RC, Caesar, Engin blindé du génie (EBG), char Leclerc, Véhicule blindé du combat d’infanterie (VBCI) et Véhicule poste de commandement (VPC).
Autorité défilant en tête : le colonel Sébastien le Beller, chef de corps du 516e régiment du train.

7e régiment du matériel

7e régiment du matériel © Ministère de la Défense

Missions

Le 7e régiment du matériel est spécialisé dans le soutien du matériel en zone montagneuse. Le régiment conjugue ainsi maintenance opérationnelle, engagement en milieu montagneux et soutien aux unités. Le régiment a pour missions principales la maintenance des matériels terrestres de l’armée de Terre tels que l’ensemble des véhicules blindés et non-blindés, l’entretien des équipements du combattant (armement, accessoires, matériels de protection, etc.) ainsi que les approvisionnements en pièces de rechange et en matériels complets. Le 7e RMAT assure la préparation et la configuration de ces matériels pour les projeter sur les théâtres d’opérations extérieures au profit des unités ou sous son commandement.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Lyon (Rhône)
Date de création de l’unité : 1er juillet 1985 à Trèves (Allemagne), puis 1er juillet 1999 à Lyon (Rhône)
Devise : « Soutenir au plus haut ! »

Composition

Effectif défilant : 14 véhicules.
Articulation : deux Véhicules de l’avant blindé (VAB), quatre Petits véhicules protégés (PVP), trois Véhicules tactique 4X4 (VT4), deux GBC ATS15, deux Porteurs polyvalents logistique (PPLOG) et un Porteur polyvalent,lourd de dépannage (PPLD).
Autorité défilant en tête : le colonel Nicolas Houmeau, chef de corps du 7e RMAT.

Brigade aérienne de contrôle de l’espace

Brigade aérienne de contrôle de l’espace © Ministère de la Défense

Missions

La mission principale de la Brigade aérienne de contrôle de l’espace (BACE) est de contribuer au dispositif global de défense aérienne. Pour la remplir, la BACE se concentre sur le contrôle aérien et la défense sol-air. Les quatre Escadrons de défense sol-air (EDSA) mettent en oeuvre des systèmes de missiles chargés de protéger les bases aériennes stratégiques et les évènements sensibles comme les rencontres internationales de chefs d’État ou le 14 Juillet. En opération extérieure ou en mission opérationnelle, les EDSA sont en charge de la protection antiaérienne de forces déployées et sont capables de défendre une force opérationnelle terrestre. Ils sont équipés du système Mamba.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : base aérienne 106 Bordeaux-Mérignac (Gironde)
Date de création de l’unité : 2014

Composition

Effectif défilant : huit véhicules.
Articulation : une P4 Vipair, un Véhicule tactique 4x4 (VT4), un module d’engagement, un Module radar IFF (identification friend or foe) et son Module générateur d’énergie (MGE), deux modules de lancement terrestres et un module de rechargement terrestre.
Autorité en tête : le commandant Jean-Baptiste Jaglin, commandant l’EDSA 05.950 « Barrois ».

Brigade de sapeurs-pompiers de paris

Brigade de sapeurs-pompiers de paris © Ministère de la Défense

Unité de l’armée de Terre placée pour emploi sous l’autorité du préfet de police de Paris, la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) lutte contre les incendies et assure les secours d’urgence dans la capitale et les trois départements limitrophes. Elle concourt à la prévention et à la lutte contre les accidents, sinistres et catastrophes, ainsi qu’à l’évaluation et à la prévention des risques technologiques ou naturels. L’activité de la BSPP s’accroît, en particulier dans le domaine du secours d’urgence aux personnes, qui représente 81% de ses missions. Elle intervient au-delà de sa zone d’action en cas de catastrophe ou de cataclysme en France métropolitaine, dans les départements et territoires d’outre-mer et à l’étranger.

Implantation

Lieux d’implantation de l’unité : Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne
Date de création de l’unité : 1811
Devise : « Sauver ou périr »

Composition

Effectif défilant : 13 véhicules.
Articulation : quatre fourgons pompe tonne légers, un véhicule de premiers secours, deux véhicules de secours à victimes, un bras élévateur articulé, un fourgon mousse grande puissance, deux berces pompage grande puissance et deux échelles pivotantes automatiques à nacelle.
Autorité défilant en tête : le général de division Joseph Dupré la Tour, commandant la BSPP.

Régiment de cavalerie de la Garde républicaine

Régiment de cavalerie de la Garde républicaine © Ministère de la Défense

Missions

Le régiment de cavalerie de la Garde républicaine participe aux services protocolaires au profit des plus hautes autorités de l’État et des hôtes étrangers. Il assure également des missions de sécurité publique générale, grâce à 11 postes à cheval permanents, deux groupes de cavalerie, un détachement au peloton de surveillance et d’intervention à cheval en Nouvelle-Calédonie, et 15 postes à cheval saisonniers agissant en appui des unités de la gendarmerie départementale. Le régiment de cavalerie participe également au maintien et au rayonnement de l’équitation militaire et à la préservation des savoir-faire ancestraux par les artisans de la Garde.

Implantation

Lieu d’implantation de l’unité : Paris et Saint-Germain-en-Laye (Yvelines)
Date de création de l’unité : 4 octobre 1802

Composition

Effectif défilant : 200 chevaux.
Articulation : la fanfare de cavalerie, le commandant du régiment de cavalerie, le commandant en second, le commandant de régiment adjoint, l’étendard et sa garde et les trois escadrons.
Autorité défilant en tête : le colonel Gabriel Cortès, commandant le régiment de cavalerie de la Garde républicaine.

Dossier 14 juillet

Alors que la guerre a fait son retour en Europe, la solidarité stratégique avec nos alliés et les « forces morales » de la Nation seront célébrées lors du défilé militaire.

Dossier 14 juillet

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