Le jury du prix littéraire

Le jury du prix littéraire

Prix littéraire - le jury © armée de Terre/Défense

Membres de droit

Général d’armée Pierre SCHILL, chef d’état-major de l’armée de Terre. © armée de Terre/Défense

Le général d’armée Pierre SCHIL est né le 10 septembre 1967 à Châlons-sur-Marne (51).

Saint-cyrien de la promotion Lieutenant Tom Morel (1987-1990), il choisit à la fin de sa scolarité de servir dans l’arme des troupes de marine. Après avoir suivi sa formation de chef de section à Montpellier, il est affecté au 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa) à Vannes. A la tête de sa section, le lieutenant Schill est successivement engagé dans les opérations Epervier au Tchad, Oryx en Somalie et en ex-Yougoslavie à Sarajevo.

Promu capitaine en 1994, il est désigné pour servir au régiment d’infanterie de marine du Pacifique en Polynésie (RIMaP-P) comme officier adjoint.

En 1996, il rejoint Le Mans pour commander la 2e compagnie de combat, « les boucs » du 2e RIMa. Il est déployé en Albanie ainsi qu’en République centrafricaine.

En août 1999, il est affecté à l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr, en qualité d’officier supérieur adjoint, pour encadrer les sous-lieutenants des promotions De la France Combattante, Chef d’escadrons Raffali et Bicentenaire de Saint-Cyr (1999-2002).

Lauréat du concours du cours supérieur d’état-major (CSEM), il suit à partir de 2002 l’enseignement dispensé à la 116e promotion du CSEM puis intègre la 11e promotion du Collège interarmées de défense (CID actuelle Ecole de Guerre). Breveté du CID en 2004, le lieutenant-colonel SCHILL retrouve, la même année, la garnison de Vannes et le 3e RIMa où il occupe les fonctions de chef du bureau opération et instruction (CBOI).

En 2004, il est déployé en République de Côte d’Ivoire dans le cadre de l’opération Licorne comme chef d’opérations du groupement tactique interarmes n°2 (GTIA 2) à Man. En 2006, il est affecté à la division Plans programme évaluation (PPE) de l’état-major des Armées comme officier traitant. Durant trois années, il contribue à la préparation des auditions parlementaires du chef d’état-major des Armées (CEMA). En 2008, ses travaux portent sur l’application de la révision générale des politiques publiques (RGPP) aux Armées dans le cadre de la rédaction du Livre Blanc sur la défense et la sécurité nationale. Puis, il participe à l’élaboration de la loi de programmation militaire 2009-2014 dans le contexte de la pleine application de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF) au ministère de la Défense.

Nommé général de brigade en 2017, il prend le commandement de la 9e Brigade d’infanterie de marie (9e BIMa) dont l’état-major est à Poitiers. En 2019, il est désigné pour occuper les fonctions de chef de la division emploi des forces de l’état-major des Armées.

Le 22 juillet 2021, il est élevé au rang et appellation de général d’armée et nommé chef d’état-major de l’armée de Terre.

Le général d’armée Pierre SCHILL est officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite, titulaire la croix de la valeur militaire avec deux citations.

Marié, il est père de trois enfants.

Colonel Dosseur, chef du service d’information et de relations publiques de l'armée de Terre. © armée de Terre/Défense

Le Colonel DOSSEUR, actuellement conseiller communication du chef d’état-major de l’armée de Terre et chef du SIRPA Terre, a débuté sa carrière avec une orientation opérationnelle marquée dans l’arme blindée cavalerie, notamment à la Légion étrangère. Après trois années à la tête du Prytanée national militaire, il a ensuite consacré la seconde moitié de sa carrière à la communication opérationnelle.

Son parcours opérationnel :

  • Chef de peloton à la 13e Demi Brigade de Légion étrangère
  • Commandant d’unité au 1er Régiment étranger de cavalerie à Orange
  • Opérations au Kosovo, Tchad, RCI x3, Liban, Afghanistan, Mali.
  • Séjour en Allemagne, Djibouti, Etats-Unis
  • Diplômes : Breveté de l’école de guerre (2008)

Communication opérationnelle :

Après l’obtention d’un Master 2 en communication des entreprises et institutions

  • Conseiller communication auprès de l’Amiral commandant l’Etat-major interarmées Forces et entrainement à Creil
  • Conseiller communication du général commandant la Task Force La Fayette Afghanistan – Mandat III
  • Officier communication à l’état-major des armées : EMACOM
  • Conseiller communication du général commandant l’opération Serval Janvier 2013
  • SACT (Supreme Allied Commander Transformation) NATO Public Affairs Advisor – Norfolk VA
  • Chef du bureau marketing du recrutement armée de Terre
  • Chef SIRPA Terre

Erwan Bergot, fils d'Erwan Bergot © Photo cadet

Cécile Bergot, Belle-fille d’Erwan Bergot. © armée de Terre/Défense

Membres désignés

Adjudant-chef Philippe Aspord, Vétéran de l'armée de Terre. © armée de Terre/Défense

Mme Guillemette de Sairigné, journaliste, écrivain, ancienne lauréate © armée de Terre/Défense

Guillemette de Sairigne a collaboré avec Le Monde, L’Express, Le Point puis Madame Figaro, où elle a animé la rubrique des « Grands Entretiens », mettant en lumière des personnalités diverses telles que Françoise Sagnan, Romain Gary, Maurice Bejart ; ainsi que des figures marquantes comme l’abbé Pierre et sœur Emmanuelle. Simultanément, elle a produit des émissions télévisées pour la deuxième chaîne et écrit plusieurs livres.

A travers ses premiers ouvrages, elle entrelace des témoignages vécus avec des analyses approfondies en collaboration avec des experts renommés tels que l’historien Georges DUBY, le philosophe René Girard, le prix Nobel de physique Georges Charpak, abordant des thèmes comme la souffrance, la beauté ou encore le pardon.

Son livre paru en 1998, « Mon illustre inconnu » (Fayard), est une enquête sr son père, Gabriel de Sairigne, héros de Narvik et Bir Hakeim, Compagnon de la Libération, décédé au champ d’honneur en Indochine à l’âge » de 35 ans, alors qu’elle n’était encore qu’un nourrisson.

Avec « La Circassienne », elle relate l’histoire de la comtesse de Luart, également une figure de la Légion, qui a dirigé une formation chirurgicale mobile pendant la Seconde Guerre mondiale t demeure la « Marraine » du 1er régiment étranger de cavalerie.

Paru le 2 juin 2022 « Le dernier des Compagnons, Hubert Germain » retrace la vie bien remplie d’Hubert Germain, ultime survivant parmi les 1038 membres de l’ordre de la Libération, décédé à l’automne 2021.

 

Général de division (2S) Jean Maurin, ancien commandant de la Légion étrangère © armée de Terre/Défense

Né en 1959 à Sète (Hérault), le général de division Jean Maurin est marié et père de 5 enfants. 

Saint-Cyrien de la promotion « Général Lasalle » (1979-1981). Chef de section d’engagés volontaires au 4e Régiment étranger en 1982, il rejoint le 2e Régiment étranger de parachutistes en 1983 en qualité de chef de section, d’officier adjoint, et de commandant d’unité.

En 1991, il devient officier rédacteur au bureau emploi de l’Etat-major de la Force d’action rapide à Maisons-Laffitte. Stagiaire au Cours supérieur d’état-major (107e Promotion) de 1993 à 1994, il intègre le Collège interarmées de défense (2e Promotion) de 1994 à 1995 et retourne au 2e REP comme chef du bureau opérations instruction (1995-1997).

Officier rédacteur puis chef de section au bureau planification des ressources humaines de l’Etat-major de l’armée de terre de 1997 à 2000, année où il prend le commandement de la 13e Demi-brigade de Légion étrangère. A l’issue, il prend la fonction de chef d’état-major de la 11e brigade parachutiste.

En 2004, le général de division Maurin est auditeur à l’académie d’Etat-major général de la Fédération de Russie à Moscou. De 2005 à 2006, il st chef du service « Session nationale » à l’Institut des hautes études de la défense nationale (2005-2006). Par la suite, il occupe le poste de chef de la section « bilatéral nord », division « organisations internationales », à l’Etat-major des armées.

De 2009 à 2012, il est attaché de défense auprès l’ambassade de France à Moscou. Avant de prendre le commandement de la Légion étrangère le 1er aout 2014, le général de division Maurin était adjoint au sous-chef « relations internationales » de l’Etat-major des armées.

Il a participé à l’opération Manta (1983-1984), ainsi qu’à l’opération Epervier au Tchad (1988-1989,1996). Il était en République centrafricaine, éléments français d’assistance opérationnelle (1985-1986), opérations Almandin II et III (1997). En 1991, il a participé à l’opération Noroît au Rwanda ? il set présent en ex-Yougoslavie (FRorce de réaction rapide sous mandat de l’ONU) à Sarajevo en 1995 puis il prend part à l’opération Salamandre (1996) pour la mise en place des accords de Dayton.

Enfin, il retourne en Afrique en 1997 en République du Congo (Brazzaville) pour l’opération Pélican et en 2003 où il est chef d’Etat-major de la force Licorne en République de Côte d’Ivoire (octobre 2002-février 2003).

Le général de division Maurin est commandeur de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite. Il est titulaire de la croix de la valeur Militaire avec 3 citations.

Général Haberey, Chef d’état-major du centre de doctrine et d’enseignement du commandement, écrivain © armée de Terre/Défense

Saint-Cyrien de la promotion « Général Callies », il choisit l’infanterie et sert successivement au 1er RI de Sarrebourg, puis à Draguignan, comme instructeur au sein de l’Ecole d’Application de l’Artillerie.

En 2002, il rejoint l’Etat-major de force n°4 de Limoges comme chef du bureau études et assistant militaire du général commandant.

Après divers postes en Etat-major, et à l’EMA, il prend le commandement du 92e Régiment d’infanterie à Clermont-Ferrand de 2010 à 2012.

De retour à Paris, il rejoint l’EMAT puis le Cendre de Doctrine et d’Enseignement du commandement de l’Armée de Terre.

Depuis l’été 2021, il est l’adjoint au général commandant Terre pour le Territoire National.

Amateur d’histoire militaire, il a rédigé plusieurs ouvrages relatifs à la tactique et aux opérations.

Andreï Makine, Ecrivain, membre de l’académie française, ancien lauréat. © armée de Terre/Défense

Andreï MAKINE est né à Krasnoïarsk en Sibérie le 10 septembre 1957. Dès l’âge de 4 ans il devient bilingue grâce à une vieille dame française qui s’occupe de lui ; elle est nommée Charlotte Lemonnier et est présentée comme la grand-mère du narrateur dans le roman auto fictif. » Le Testament français ».

Durant une scolarité erratique, et notamment à partir de l’école primaire, il étudie le français.

Il étudie ensuite à l’université de Kalinine et rédige une thèse de doctorat sur la littérature française contemporaine à l’université de Moscou. Il enseigne ensuite la philologie à l’Institut pédagogique de Novgorod, où il collabore à la revue Littérature moderne à l’étranger.

En 1987, à trente ans, il s’installe clandestinement à Paris puis demande l’asile politique, qu’il obtient. Il mène d’abord une vie précaire, qu’il décrit comme un « désespoir permanent ». Il est d’abord assistant de russe au lycée Jacques-Decour, puis dépose une thèse de doctorat. Il enseigne ensuite à l’Institut d’études politiques de Paris et envisage une carrière universitaire dans la littérature slave.

Son premier roman, « La Fille d’un héros de l’Union soviétique », paru en 1990, est le point de départ d’une carrière littéraire avec le français comme langue d’écriture.

Il obtient en 1995 les prix Goncourt, Goncourt des lycéens et Médicis pour son roman « Le Testament des français ».

L’obtention du Goncourt lui vaux, entre autres, d’obtenir la nationalité française en 1996, ce qui lui avait été précédemment refusé à plusieurs reprises à partir de 1991 malgré le soutien de personnalités politiques comme Roseline Bachelot.

Le 3 mars 2016 il est élu membre de l’Académie française au premier tour, au fauteuil occupé précédemment par l’écrivaine franco-algérienne Assia Djebar. Il obtient 15 voix sur 26 votants. Il prononce son discours de réception le 15 décembre 2016 devant l’assemblée de l’Académie dans lequel il retrace les liens historiques et littéraires de l’entente franco-russe » et plaide pour une Russie forte. Il reçoit son épée ornée d’argent, d’émeraudes, de diamants et de saphirs conçue par l’entreprise suisse Chopard de la main de l’écrivain Danièle Sallenave.

Christine Clerc, Journalise, écrivain © armée de Terre/Défense

Né de François CLERC, agent de change, et de Monique Preschez, Christine CLERC a débuté sa scolarité chez les dominicaines du Havre avant de poursuivre en pension au collège Notre-Dame des oiseaux, où également Martine AUBRY et Ségolène ROYAL ont étudié. Alors étudiante en droit, elle se marie à 19 ans avec un interne en médecine et devient mère de deux fils.

Ses premiers pas dans le monde professionnel la conduisent à traduire des romans policiers pour la Série noire de Gallimard et à s’inscrire à l’Ecole du Louvre, où elle nourrit son amour pour l’Egypte.

Diplômée de la Faculté de droit, de sciences Po et de l’Ecole du Louvre, elle entame sa carrière journalistique à L’Express en 1970. Ses débuts la voient enquêter sur le thème « Comment vit-on avec 1000 francs par mois ? ». Lorsque Jacques Duquesne et Claude Imbert quittent L’Express pour fonder Le Point, elle rejoint ce nouveau périodique, devenant successivement spécialiste des problèmes sociaux, agricoles et de santé jusqu’en 1979. Par la suite, elle collabore avec Elle à partir de 1979, réalisant des portraits de personnalités politiques.

En 1981, elle devient grand reporter et journaliste politique au Figaro Magazine et au Figaro, sous la direction de Louis Pauwels. Elle se distingue par ses grands reportages à travers la France, récompensés par le prix Albert-Londres en 1982 pour son livre « Le Bonheur d’être Français ». Elle suit les campagnes électorales de divers candidats, interviewant des personnalités telles que Simone Veil ; Raymond Barre etc. Elle quittera le journal en 2006 après la reprise du groupe par Dassault et le départ de Giesbert.

En parallèle, elle contribue à plusieurs magazines tels que Connaissance des arts, Vogue et Reader’s Digest, écrivant des portrais d’artistes renommés. Sa plume s’étend également à des hebdomadaires comme Valeurs actuelles et Marianne, ainsi qu’à des chroniques hebdomadaires au Télégramme de Brest.

Auteure de nombreux livres sur la politiques et l’histoire, dont quatre portant sur la période de Gaulle, elle signe également un essai sur Victor Hugo. Engagée dans le milieu journalistique, elle est membre de l’Association du prix Albert-Londres et préside le jury du Prix aujourd’hui, récompensant chaque année un ouvrage historique, philosophique ou politique.

Nicolas Zeller, Médecin chef, lauréat 2021. © armée de Terre/Défense

Né le 1er janvier 1976, Nicolas Zeller est médecin. Après ces études à l’Ecole du service de santé des Armées de Lyon, il a été affecté successivement au 3e régiment de hussards, au 2e régiment d’infanterie de marine et au 13e régiment de dragons parachutistes avant de rejoindre l’état-major du commandement des opérations spéciales.

 Dans les suites de sa scolarité à l’Ecole de Guerre, il a servi à la direction centrale du service de santé des armées. Au terme de 29 ans de carrière et de nombreux déploiement en zone de conflit, il quitte l’institution militaire et rejoint la Fondation Mérieux.

Comme directeur médical, il œuvre auprès des populations vulnérables afin de renforcer l’accès au diagnostic des maladies infectieuses dans les pays à ressources limitées ou en crise. Il est l’auteur de « Corps et âme » paru aux éditions Tallandier. Lauréat du Prix Erwan Bergot en 2021, il est membre du jury depuis 2022.

 

Jean-rené Van Der Plaetsen, Journaliste, écrivain, ancien lauréat. © armée de Terre/Défense

Jean-René VAN DER PLAETSEN, né le 9 août 1962 à Lubumbashi en République démocratique du congo est un journaliste et écrivain français. Il est directeur délégué de la rédaction du Figaro Magazine. Il est également membre du jury du prix de Flore depuis sa création en 1994.

Il a fait ses études au lycée Janson-de-Sailly (Paris), il est licencié en droit de l’université Paris-Descartes et ancien élève de l’Institut d’études politiques de Paris.

Entré au Figaro en 1988, Jean-René VAN DER PLAETSEN y fait tout sa carrière, passant par Le Figaro littéraire, le service culture et le service politique (dont il fut le chef de service) puis rédacteur en chef. En janvier 2008, Alexis Brézet, alors promu directeur de la rédaction du Figaro Magazine, l’y fait venir et le nomme directeur de la rédaction, poste qu’il occupe encore aujourd’hui. 

En 2023 il devient membre du jury du prix Interallié.

 

Arnaud Teyssier, : Haut fonctionnaire et historien français. © armée de Terre/Défense

Arnaud TEYSSIER est né le 22 décembre 1958 à Paris. Il a étudié à l’Ecole normale supérieur de la rue d’Ulm et a ensuite été admis à l’Ecole nationale d’administration.

Il intègre l’Inspection générale de l’administration à sa sortie de l’ENA.

Il fut conseiller de Philippe SÉGUIN à l’Assemblée nationale et directeur du Centre d’études et de prospective du ministère de l’Intérieur de 2003 à 2008.

Professeur associé à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne de 2006 à 2014, il est depuis 2015 professeur associé à l’Ecole normale supérieur et codirecteur de la Prép’ENA Paris I-ENS, où il enseigne les questions contemporaines. Il est aussi administrateur de l’Institut d’études avancées de Nantes et conseiller scientifique de Futuribles.

Depuis 2017, il préside le conseil scientifique de la Fondation Charles de Gaulle.

Il préside le syndicat des membres de l’Inspection générale de l’administration.

Il a notamment consacré plusieurs ouvrages à Richelieu.

Membre invité

Marie-Laure Buisson, Écrivain, lauréate 2022. © armée de Terre/Défense

Marie-Laure BUISSON est née à Paris en 1967 au sein d’une famille de juristes. Elle a amorcé sa carrière en tant qu’avocate d’affaires.

Devenant « Déléguée Générale Adjointe » de la Fondation Véolia en janvier 2014, elle a parcouru les continents pendant sept ans, traversant parfois des environnements hostiles, pour financer des projets d’intérêt général tels que des hôpitaux en Afrique, des programmes de substitution de culture de coca en Colombie, ou encore des initiatives de nutrition pour des enfants vivant dans des décharges en Asie.

Affichant un intérêt continu pour les enjeux de Défense, elle a été sélectionnée pour suivre le cursus de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale, où elle a plongé dans le monde militaire.

Elevée au grade de Colonel de Réserve Citoyenne de l’Armée de l’Air, elle a ensuite été choisie en tant que « personnalité qualifiée » au sein de la Fondation « Armée de l’Air », présidée par le Chef d’Etat-Major de l’Armée de l’Air. Optant pour un engagement actif dès 2011 au sein de la Légion étrangère, elle a été honorée du titre de « Légionnaire de 1re Classe à titre honoraire » en 2015 pour ses services éminents rendus à ‘institution.

En avril 2019, elle a eu l’immense honneur d’être désignée « marraine » du 4e Régiment étranger, un titre qui, jusqu’alors, n’avait été accordé qu’une seule fois dans l’histoire de la Légion, en 1943, à Leïla Hagondokoff, comtesse du Luart, marraine du 1er Régiment Etranger de Cavalerie.

Depuis 2018, elle consacre également son énergie à sa Fondation, la « Fondation Marie-Laure Buisson », affiliée à la Fondation de France, axée sur le soutien aux blessés de guerre et aux peuples opprimés.

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