Les 3 et 4 décembre, 180 militaires du sous-groupement tactique interarmes de la mission Lynx ont participé à l’exercice ORKAAN 16 aux côtés de leurs alliés britanniques de l’enhanced Forward Presence Battle Group (eFP BG) et de l’Estonian Defense League (EDL), en charge de la défense territoriale.

Cette semaine, un détachement du Collective Defense Battle Group (CDBG) a participé à l’exercice EAGLE ZORI, marqué par les premiers tirs des chars Leclerc.

Le 1^er décembre, à l’occasion de la fête nationale roumaine, militaires néerlandais et français du CDBG ont défilé sur l’avenue de l’Arc de Triomphe.

Dans ce cadre, du 1^er au 7 décembre, ont été menées :

• 1 mission de détection et de contrôle en Roumanie par un E-3F ;
• 1 sortie sur alerte réelle « Alpha scramble » en Lituanie par deux Rafale ;
• 1 mission de ravitaillement dans l’espace aérien balte par un C135 au profit d’aéronefs partenaires de l’OTAN.

Au total, le CMT Croix du Sud a réalisé près de 140 heures de chasse aux mines aux côtés des chasseurs de mines allemands, finlandais et néerlandais, permettant notamment de contreminer un flotteur de mine à orin datant de la seconde guerre mondiale.

Entre le 1^er et le 7 décembre, dans le cadre de sa contribution à l’opération INHERENT RESOLVE (OIR) le GAN a réalisé 7 sorties d’E-2C Hawkeye et 7 patrouilles de Rafale marine.

• missions d’appui aérien afin de sécuriser le déplacement des convois logistiques dans la zone d’opération conjointe des Forces armées nigériennes (FAN) et des forces françaises déployées au Sahel (ALMAHAOU) ;
• un vol de rassurance au profit des forces armées nigériennes a également été conduit au niveau de la frontière nigéro-malienne ;
• une patrouille de deux Mirage 2000D de Niamey a réalisé un show of presence dans la région d’Inatès à la demande des forces armées nigériennes.

Elle a été l’occasion de mettre en avant le partenariat militaire entre le génie français et le groupement fluvial tchadien. Des témoignages de satisfaction tchadiens ont été remis à l’ensemble du personnel du détachement de la compagnie génie du 43^e Bataillon d’infanterie de marine (43^e BIMa) des Forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI).

Sous l’autorité du capitaine Karl, de la République démocratique du Congo, 17 stagiaires formateurs issus de 6 pays (RDC, Gabon, Cameroun, Tchad, Burundi et pour la première fois Côte d’Ivoire) forment actuellement les militaires tchadiens.

Cette saisie représente 4,6 tonnes de cocaïne pour une valeur estimée de 150 millions d'euros selon les estimations de l’Office anti-stupéfiants (OFAST).

Par ailleurs, le 28 novembre, le Patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Ducuing a appareillé pour rejoindre le golfe de Guinée. Il y relève le PHA Tonnerre au sein de l’opération CORYMBE.

Défense et surveillance de l’espace aérien (DCA), prise d’alerte Close Air Support (CAS) et reconnaissances menées au Moyen-Orient au profit de la Coalition.

Ensemble, les soldats libanais et français ont éprouvé leur interopérabilité et leurs connaissances mutuelles dans le cadre du combat en zone urbaine, du secourisme au combat et de la lutte contre les engins explosifs improvisés (IED).

Du 27 novembre au 1^er décembre a eu lieu une phase d’acculturation entre les différentes composantes koweitienne et française :

• composante aérienne : combats à vue et combats radar avec les F-18 koweitiens et le détachement de trois Rafale de la base aérienne 104 stationnée au EAU ;
• composante maritime : exercices incendie, manœuvres tactiques, exercices de lutte anti-aérienne et de lutte contre les trafics illicites, sauvetage en mer et présentation au ravitaillement à la mer par la frégate de type La Fayette Aconit et la marine koweitienne ;
• composante terrestre : entraînement interarmes (infanterie, cavalerie et artillerie) conjoint entre le 5^e régiment de cuirassier et le partenaire koweitien.

Du 27 au 30 novembre, 80 stagiaires du corps de garde-côtes et de l’école des officiers de l’académie militaire interarmées djiboutiens se sont aguerris et ont été initiés au combat en milieu semi-désertique au Centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD).

L’engagement des militaires brésiliens et français, appuyés par des gendarmes et agents du parc amazonien de Guyane a permis la découverte de 12 chantiers alluvionnaires, de 20 campements et 12 carbets. Plusieurs matériels liés à l’activités d’orpaillage illégal, dont notamment 8 motopompes, 200 litres de carburant et près d’une tonne de matériel divers ont été saisis ou détruits.